Communication as a superpower | La communication, une superpuissance
Le français est ci-dessous
Insights from the Animal Health Canada Poultry and Livestock Emergency Management Network (PLEMN)
At last national Poultry and Livestock Emergency Management Network (PLEMN) meeting, members from across Canada participated in a live poll asking, “What emergency management superpower would you choose?” The top response, by a wide margin, was communication. It was not planning, not rapid response, not even situational awareness. Everyone in the room agreed it was the ability to communicate well, quickly, and clearly.
But this isn’t just about talking. It’s about trust, timing, and cutting through the noise when the stakes are high.
Whether it’s wildfire smoke on the horizon, avian influenza in the headlines, or a sudden flood warning, producers want updates that are relevant, fast, and useful. When livestock lives and livelihoods are on the line, misinformation or radio silence only adds to the pressure.
Across the network, provinces are rethinking how they message producers. Manitoba is developing newsletters specifically tailored to smallholders. Alberta is piloting PID-based notification systems to reach more producers directly. Prince Edward Island is leveraging social media while embedding communication leads into Emergency Operations Centres.
And in Yukon, it’s as simple and powerful as word of mouth in a tightly knit smallholder community.
Beyond the email blasts, communication is now being redefined to include “recognizing who’s not being reached.”
Several provinces noted during our roundtable that smallholder producers, especially those without centralized associations, can be the hardest to reach. That’s why new strategies, from partnerships with veterinarians to dedicated working groups, are being tested.
Communication, after all, isn’t just what we say. It’s who hears it, and what they do next.
As we work with stakeholders in building national resilience across the poultry and livestock sectors, one message rings loudest: communication must not be an afterthought. It’s the most critical device in the toolbox.
And it’s one tool we can all get better at using.
Do you have any ideas on how to reach smallholders in your community? Feel free to send us your ideas at info@animalhealthcanada.ca
La communication, une superpuissance
Perspectives du Réseau de gestion des urgences touchant la volaille et le bétail (RGUTVB) de Santé animale Canada
Au cours de la dernière réunion nationale du Réseau de gestion des urgences touchant la volaille et le bétail (RGUTVB), les membres de partout au Canada ont répondu à un sondage en direct à la question suivante : « Quelle superpuissance souhaiteriez-vous posséder en matière de gestion des urgences? ». La réponse qui a obtenu le plus de votes a été la communication. Ce n’était pas la planification, ni la rapidité d’intervention, ni même la connaissance de la situation. Tout le monde dans la salle était d’accord sur le fait qu’il était crucial de savoir communiquer efficacement, rapidement et clairement.
Or, il ne suffit pas de savoir parler. Il faut aussi avoir confiance, choisir le moment opportun et ignorer les distractions lorsque les enjeux sont importants.
Que ce soit la fumée d’un incendie à l’horizon, la grippe aviaire en première page des journaux ou une alerte soudaine d’inondation, les producteurs ont besoin d’informations pertinentes et rapides. En particulier lorsque la survie du bétail et les moyens de subsistance sont menacés, la désinformation ou le manque de communication ne font qu’aggraver la situation.
Le Manitoba produit des bulletins d’information spécifiquement pour les petits producteurs. L’Alberta expérimente des systèmes d’alerte basés sur les PID pour rejoindre un plus grand nombre de producteurs. L’Île-du-Prince-Édouard utilise les médias sociaux tout en intégrant des responsables des communications dans les centres de gestion des situations d’urgence.
Au Yukon, la méthode du bouche-à-oreille, qui fonctionne remarquablement bien au sein d’une communauté de petits producteurs très unie, constitue un moyen de communication simple et efficace.
Cette méthode, qui va au-delà des campagnes d’envoi massif de courriels, vise à intégrer la prise en compte des individus qui ne reçoivent pas les messages.
Lors de la réunion, plusieurs provinces ont exprimé leurs difficultés à atteindre les petits producteurs, en particulier ceux qui ne font pas partie d’organisations centralisées. Elles cherchent désormais de nouvelles approches, comme des partenariats avec des vétérinaires et la création de comités spécialisés, pour faciliter leur intégration.
Après tout, la communication ne se résume pas à des mots. Elle dépend aussi de ceux qui les écoutent et des actions qu’ils posent par la suite.
Tandis que nous collaborons avec les parties prenantes pour renforcer la résilience nationale dans les secteurs de la volaille et de l’élevage, une constatation s’impose : la communication doit être au cœur de nos préoccupations. Il s’agit de l’outil le plus important de notre trousse à outils.
Et heureusement, c’est un outil que nous pouvons tous apprendre à maîtriser davantage.
Avez-vous des suggestions pour rejoindre les petits producteurs de votre communauté?
N’hésitez pas à nous faire part de vos idées à l’adresse info@animalhealthcanada.ca.