Le « Rapport 2024 de la santé animale canadienne sur l’utilisation des antimicrobiens et la résistance antimicrobienne (UAM/RAM) : Analyse environnementale » sera une évaluation exhaustive visant à actualiser les connaissances de l’industrie sur les réalisations actuelles, les programmes et activités en cours et les éventuelles lacunes liées à l’utilisation des antimicrobiens et à la résistance antimicrobienne dans le secteur canadien de la santé animale.

En réponse à la publication du Plan d’action pancanadien sur la résistance aux antimicrobiens (RAM), le rapport abordera les obstacles réglementaires et cernera les lacunes existantes liés à la santé et au bien-être des animaux.

Voici quels seront les principaux éléments du rapport :

• Mettre à jour la compréhension, dans l’industrie, de la situation actuelle de l’UAM/RAM : les tendances, les politiques, les difficultés et les menaces émergentes.
• Évaluer les obstacles réglementaires et les cadres de politiques qui influent sur les pratiques et les interventions d’UAM/RAM dans le secteur canadien de la santé animale.
• Cerner les lacunes dans la recherche et l’innovation pour trouver des options de rechange aux antimicrobiens, comme indiqué dans le Plan d’action pancanadien sur la RAM.
• Cartographier le réseau d’entités de recherche de l’industrie et du gouvernement qui s’intéressent à l’UAM/RAM et évaluer les engagements financiers dans ces initiatives.
• Analyser la ventilation des fonds entre certaines catégories de recherche sur l’UAM/RAM et évaluer les contributions venant des deux sources : le gouvernement et l’industrie.
• Déterminer les obstacles à l’accès, la sécurité, la stabilité des ressources disponibles, la participation des compagnies pharmaceutiques et les obstacles réglementaires/stratégiques à l’avancement de la recherche et de l’innovation dans le domaine de l’UAM/RAM. Santé animale – Sommaire du rapport sur la mise en œuvre de la planification stratégique du PAPC sur la RAM, février 2024
• Élaborer un processus pour intégrer des approches novatrices, comme la génomique et les modificateurs gastro-intestinaux, dans les pratiques courantes afin d’aborder efficacement les problèmes de l’UAM/RAM.

Les constats du rapport sont attendus à l’hiver 2024.