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The Importance of a one health, collaborative approach to HPAI/ L’importance d’aborder l’IAHP selon la démarche collaborative d’Une seule santé

September 9th, 2024 by Keith Lehman and Leigh Rosengren

Le français ci-dessous

Animal Health Canada is the only national organization that brings together industry, federal, provincial and territorial partners to provide collaborative guidance on a cohesive, functional and responsive farmed animal health and welfare system in Canada.

We pride ourselves in bringing groups around a table who may not typically, or immediately, work together. Our strength is creating those connections, so relationships and trust have been proactively built to enable everyone to pull together quickly.

This helps us address many animal health and welfare topics, including emerging diseases like highly pathogenic avian influenza (HPAI) in multiple species, and ensuring we add a one health and welfare lens to everything we do.

These collaborative strengths have been very much showcased through our communications with our members and network groups about the outbreaks of HPAI in dairy cattle in the US.

This is an ongoing, emerging disease, which has a zoonotic element with the virus confirmed in dairy workers.

When HPAI was first detected in the US back in March, our Canadian Animal Health Surveillance System division (CAHSS) jumped into action to pull together a meeting with provincial veterinary representatives, veterinary associations, regional and provincial surveillance partners, the council of chief veterinary officers, and laboratorians, as well as the Canadian Food Inspection Agency (CFIA) and Public Health Agency of Canada (PHAC).

These meetings have continued on a weekly basis and have been instrumental in sharing the most up-to-date information and to answer questions directly from those who need to understand this emerging situation.

Our Emergency Management division has also taken the same approach to bring together industry representatives and CFIA to answer questions directly from industry. As a part of preparedness planning, AHC facilitated multi-partner discussions in relation to what a response would require should a Canadian detection occur.

To help reduce the risk of introduction of this novel virus to Canada, we have partnered with our members to develop biosecurity resources. with the Dairy Farmers of Canada AHC generated an infographic on HPAI: Biosecurity Recommendations for Dairy Farmers for one-site service providers and producers.

More recently, we collaborated with a working group of several provincial chief veterinary officers, industry, the CFIA and PHAC to create guidance documents for organizers and exhibitors to help prevent highly pathogenic avian influenza spread to cattle. The documents were shared with 4H Canada and the Canadian Association of Fairs and Exhibitions for distribution to their contacts.

We have also been sharing updates to our members through direct e-mails, our monthly newsletter, a web page dedicated to updates on US Detections of H5N1 in Dairy Cattle in the States and our social media channels.

These essential up-to-date information sharing opportunities is thanks to the model we have put in place between government, industry and veterinary professionals that will support preparedness planning for any zoonotic diseases like highly pathogenic avian influenza.

We already know this model of collaboration works through what we have accomplished through African swine fever planning and preparedness; we recognize that proactively investing in relationship building along with emergency planning is critical to the success of an actual response.

We have heard this often from individuals around the table these past few weeks, appreciating the ability to hear the information together from diverse groups.

As we continue to review what else can be done to better prepare for a potential jump of HPAI into other farmed animal species, which may pose an even greater concern for human health, the importance of this cannot be stressed enough…. collaboration is key. It is our strength.

The communications we have had about HPAI with our members and partners would not have happened so seamlessly without a clear relationship with all players in the national livestock and poultry industry and federal, provincial and territorial governments at the table. Those players include producer representatives, processor representatives, feed mills, provincial chief veterinary officers, CFIA and PHAC to ensure we approach this, and all of our work, with a One Health lens.


Santé animale Canada est le seul organisme national à réunir des partenaires de l’industrie, du gouvernement fédéral et des gouvernements provinciaux et territoriaux pour offrir des directives concertées sur la cohésion, le bon fonctionnement et la réceptivité du système canadien de santé et de bien-être des animaux d’élevage.

SAC est fière de réunir à la table des groupes qui ne travailleraient pas ensemble normalement, ou immédiatement. Sa force consiste à établir ces connexions, à renforcer les relations et la confiance en amont pour que tous puissent unir leurs efforts rapidement.

SAC peut ainsi aborder de nombreux dossiers de santé et de bien-être des animaux, dont les maladies émergentes comme l’influenza aviaire hautement pathogène (IAHP) chez plusieurs espèces, et appliquer le prisme d’Une seule santé et d’Un seul bien-être à toutes ses actions.

La force de la collaboration est bien en évidence dans les communications de SAC avec ses membres et ses réseaux au sujet des éclosions d’IAHP chez des bovins laitiers aux États-Unis.

L’IAHP est une maladie émergente qui sévit actuellement et qui comporte un élément zoonotique depuis que la présence du virus a été confirmée chez des travailleurs laitiers.

Quand l’IAHP a été détectée aux États-Unis en mars dernier, la division du Système canadien de surveillance de la santé animale (SCSSA) de SAC est passée à l’action en convoquant une réunion avec les représentants des milieux vétérinaires provinciaux, les associations vétérinaires, les partenaires régionaux et provinciaux de la surveillance, le Conseil des médecins vétérinaires en chef, les travailleurs des laboratoires, ainsi que l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) et l’Agence de la santé publique du Canada (ASPC).

Cette réunion, devenue hebdomadaire, contribue à partager les toutes dernières informations et permet de répondre directement aux questions des gens qui ont besoin de comprendre cette situation émergente.

La division de la Gestion des urgences de SAC a adopté la même approche : réunir les représentants de l’industrie et de l’ACIA pour que l’Agence réponde directement aux questions. Dans le cadre de sa planification de la préparation, SAC a animé des discussions multipartenaires sur ce qu’exigerait une intervention si le virus était détecté au Canada.

Pour réduire le risque d’introduire ce nouveau virus au pays, SAC s’est associée à ses membres pour préparer des ressources sur la biosécurité. Avec les Producteurs laitiers du Canada, elle a réalisé une infographie, IAHP : Mesures de biosécurité recommandées aux producteurs laitiers, à l’intention des producteurs et de leurs fournisseurs attitrés. 

Plus récemment, elle a collaboré avec un groupe de travail composé de plusieurs médecins vétérinaires en chef provinciaux et de représentants de l’industrie, de l’ACIA et de l’ASPC pour mettre au point des documents donnant des conseils de biosécurité aux organisateurs de foires et d’expositions et aux exposants afin de prévenir la propagation de l’influenza aviaire hautement pathogène aux bovins. Ces documents ont été transmis à 4 H Canada et à l’Association canadienne des foires et expositions pour distribution à leurs contacts. (ADD FRENCH LINK)

SAC envoie aussi des mises à jour à ses membres par courriel, dans son infolettre mensuelle, sur une page Web consacrée aux mises à jour sur les cas de H5N1 détectés chez des bovins laitiers aux États-Unis et sur ses réseaux sociaux.

Ces moyens cruciaux de partager des informations actualisées n’auraient pas vu le jour sans le modèle que SAC a mis en place entre le gouvernement, l’industrie et les professionnels de la médecine vétérinaire à l’appui de la planification de la préparation aux zoonoses comme l’influenza aviaire hautement pathogène.

L’organisation sait déjà que ce modèle de collaboration fonctionne, étant donné tout ce qui a été accompli durant la planification et la préparation liées à la peste porcine africaine; elle reconnaît qu’un investissement en amont dans l’établissement de relations et dans la planification d’urgence est essentiel à la réussite d’une intervention dans la vraie vie.

SAC l’a souvent entendu dire ces dernières semaines par les personnes autour de la table, qui apprécient la possibilité d’obtenir ensemble des informations de groupes d’horizons divers.

SAC explore d’autres moyens possibles de mieux préparer le pays à un saut de l’IAHP vers d’autres espèces d’animaux d’élevage, une possibilité encore plus inquiétante pour la santé humaine. On ne le soulignera jamais assez : la collaboration est fondamentale. Elle fait la force de l’organisation.

Les communications de SAC avec ses membres et ses partenaires dans le dossier de l’IAHP n’auraient pas été aussi harmonieuses sans une relation claire avec les acteurs de l’industrie nationale du bétail et de la volaille et les gouvernements fédéral, provinciaux et territoriaux à la table. Ces acteurs sont les représentants des producteurs et des transformateurs, les meuneries, les médecins vétérinaires en chef provinciaux, l’ACIA et l’ASPC; leur collaboration est indispensable pour que ce dossier, tout comme le reste du travail de SAC, soit abordé selon le prisme d’Une seule santé.

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